FACING VIOLENCE
Rory Miller détaille sept points qui doivent être abordés pour adapter votre entraînement d'autodéfense aux différents individus violents que vous pourrez rencontrer
Rory Miller a travaillé pendant dix-sept ans dans un pénitencier en tant qu'officier. Reconverti dans la formation de gardiens de prison (aux US et en Irak), il dirigera une équipe spécialisée et enseignera différentes méthodes allant des tactiques défensives à la bonne utilisation de la force pour les premiers soins et la communication des prisonniers en crise ou malades mentalement. Il vit dans le Nord-Ouest du Pacifique.
Rory Miller détaille sept points qui doivent être abordés pour adapter votre entraînement d'autodéfense aux différents individus violents que vous pourrez rencontrer. Il vous explique comment faire face à la violence, se préparer à l’imprévu – moralement, émotionnellement et physiquement (… et sans aller en prison).
1. Les aspects légaux et moraux. Chaque pratiquant d'arts martiaux doit connaître la loi de la force mais surtout ses propres limites éthiques. Rory Miller explore ces différents points afin que vous puissiez déterminer où se trouve en vous ces limites, souvent négligées.
2. Dynamique de la violence. Malheureusement, la plupart des écoles d'arts martiaux et d'autodéfense ne forment pas à la violence fondée sur la réalité. Rory Miller vous apprend à reconnaître une attaque avant qu'elle ne survienne et à quel type d'attaque vous faites face.
3. Esquive. Vous allez apprendre et pratiquer les techniques pour vous sortir et éviter les situations dangereuses.
4. Contre-attaque. Dans le cas où vous êtes attaqué par surprise, vous aurez besoin d'une multitude d'actions basées sur les réflexes.
5. Briser "le freeze". Être stupéfait est presque universel lors d'une attaque soudaine, même pour le personnel expérimenté et des experts en arts martiaux. Les élèves doivent apprendre à identifier cette paralysie afin de réagir rapidement.
6. Son propre combat. Rory Miller explique que la formation doit être en accord avec la violence à laquelle on fait face.
7. Contrecoup. La violence, justifiée ou non, peut avoir des effets secondaires psychologiques, médicaux ou même juridiques sur la personne.